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Le paradoxe de notre époque

1-5Le paradoxe à notre époque
est que nous avons  + de connaissances 
mais – de patience et de tolérance. 
Les autoroutes + larges
mais des points de vue + étroits.
On dépense + mais on a – 
On achète + mais apprécie
Nous avons de + grandes maisons mais des + petites familles
+ de commodités mais – de temps
On a + de diplômes  mais – de sens
+ d’éducation mais – de jugement
+ d’experts mais + de problèmes
+ de médicaments mais – de bien être 
On boit trop , on fume bien trop, on dépense sans réfléchir
puis on ne rit pas assez
On conduit bien trop vite, on se fâche trop, on se couche trop tard et on se lève trop fatigué
On ne lit pas assez, on regarde trop de télé
et puis on ne médite pas assez
Nous avons multiplié nos possessions mais perdu nos valeurs
On parle trop, aime trop rarement, hait trop souvent
On a appris à gagner sa vie mais pas à la vivre
Nous avons ajouté des années à la vie mais pas de vie aux années
Nous sommes allés sur la Lune mais il nous est difficile de traverser la rue  pour rencontrer un nouveau voisin
Nous avons conquis le Cosmos extérieur mais pas notre Carrosse intérieur
On fait des choses + grandes mais pas meilleures
Nous avons + d’hygiène mais nous avons pollué même notre âme
Nous avons conquis l’atome mais pas nos préjugés
On écrit + mais on apprend –
Nous planifions + mais accomplissons –
On a appris à se stresser mais pas à patienter
Nous construisons des ordinateurs pour retenir + d’informations
On produit + de copies que jamais auparavant mais nous communiquons de – en –
Nous sommes à l’Ère de la restauration rapide mais de la digestion lente
Des grands hommes mais des petites personnalités
Des profits records mais relations superficielles
Nous sommes à l’Ère de 2 revenus mais avec + de divorces
Nous sommes  à l’Ère des ‘Showroom’ bien remplis avec des entrepôts vides

Rappelez-vous de dire ‘Je t’aime‘ à votre partenaire et à vos biens aimés mais surtout pensez-le.
Une bise et une accolade  soulageront un mal lorsque c’est sincère. Souvenez-vous de vous tenir la main et de chérir ce moment présent Prenez le temps daimer , de parler et de partager vos pensées précieuses
Et n’oubliez jamais que la vie ne se mesure pas au nombre de souffles que vous prenez mais par les moments qui nous coupent le souffle
.
(George Carlin)

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Publié le par Aben | 2 commentaires

Le verre d’eau

à méditer


Une psychologue marchait vers le podium tout en enseignant la gestion du stress à une audience avertie.
Elle souleva un verre d’eau et tout le monde s’attendait à la question du ‘verre à moitié vide ou à moitié plein’…
Au lieu de cela, et avec un sourire, elle demanda :
– ‘Combien pèse ce verre d’eau ?’
Les réponses entendues varièrent entre 8 et 20 grammes
Elle sourit à nouveau et dit :
– ‘ Le poids absolu n’a pas d’importance. Cela dépend de combien de temps je le tiens…
Si je le tiens pendant une minute, ce n’est pas un problème.
Si je le tiens pendant une heure, j’aurai une douleur dans le bras.
Si je le tiens pendant une journée entière, mon bras se sentira engourdi et paralysé.
Dans chaque cas, le poids du verre ne change pas, mais plus longtemps je le tiens, plus lourd il devient…’
Elle poursuivit en disant :
– ‘ Le stress et les inquiétudes dans la vie sont comme ce verre d’eau.
Pensez-y pendant un moment et rien ne se passe.
Pensez-y pendant plus longtemps et ils commencent à faire mal.
Et si vous y pensez toute la journée, vous vous sentez paralysés, incapable de faire quoi que ce soit.
Alors, pensez à déposer votre verre le plus souvent possible!…’

 (auteur inconnu)

 

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Prends le temps

àlire

Publié le par Aben | 3 commentaires

Ecris

à lire

C’est l’histoire de deux amis qui marchaient dans le désert.

A un moment, ils se disputèrent et l’un deux donna une gifle à l’autre. Ce dernier endolori mais sans rien dire, écrivit dans le sable :

« Aujourd’hui mon meilleur ami m’a donné une gifle »

Il continuèrent à marcher puis trouvèrent un oasis, dans lequel ils décidèrent de se baigner. Mais celui qui avait été giflé manqua de se noyer et son ami le sauva.

Quand il se fut repris, il écrivit sur une pierre :

« Aujourd’hui  mon meilleur ami m’a sauvé la vie »

L’autre lui demanda alors :

« Quand je t’ai blessé, tu as écrit sur le sable et maintenant tu écris sur la pierre,
Pourquoi ? »

 

L’autre ami répondit :

« Quand quelqu’un nous blesse, nous devons l’écrire dans le sableoù les vents du pardon peuvent l’effacer. Mais quand quelqu’un fait quelque chose de bien pour nous, nous devons le graver dans la pierreoù rien ne peut l’effacer.

Apprends à écrire tes blessures dans le sable et à graver tes joies dans la pierre.

 

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Prenez le temps de lire ceci…

a lire absolument

La vitesse à laquelle nous vivons nous fait-elle passer à côté de grandes choses ?



Par un froid matin de janvier, un homme assis à une station de métro de Washington DC a commencé à jouer du violon. Il a joué six morceaux de Bach pendant environ 45 minutes. Pendant ce temps, comme c’était l’heure de pointe, il a été calculé que des milliers de personnes sont passées par la gare, la plupart d’entre elles en route vers leur travail.

Trois minutes se sont écoulées et un homme d’âge moyen a remarqué qu’un musicien jouait. Il a ralenti son rythme, a arrêté pendant quelques secondes, puis se précipita pour respecter son horaire.

Une minute plus tard, le violoniste a reçu son premier dollar : une femme jeta de l’argent dans l’étui de son violon et, sans s’arrêter, a continué son chemin.

Quelques minutes plus tard, quelqu’un s’adossa au mur pour l’écouter, mais l’homme a regardé sa montre et a repris sa marche. Il est clair qu’il était en retard au travail.

Celui qui a apporté le plus d’attention à la prestation musicale fut un petit garçon de 3 ans. Sa mère l’a tiré vers elle, mais le garçon s’est arrêté pour regarder le violoniste.

Enfin, la mère a tiré plus fort et l’enfant a continué à marcher en tournant la tête tout le temps. Cette action a été répétée par plusieurs autres enfants. Tous les parents, sans exception, les forcèrent à aller de l’avant.

Durant les 45 minutes que le musicien a joué, seulement 6 personnes se sont arrêtées et sont restées à l’écouter pendant un certain temps. Environ 20 lui ont donné l’argent, mais ont continué à marcher à leur rythme. Il a recueilli 32 $. Quand il finit de jouer et que le silence se fit, personne ne le remarqua. Personne n’applaudit, ni n’exprima quelque reconnaissance que ce soit.

Personne ne savait cela, mais le violoniste était  Joshua Bell, l’un des meilleurs musiciens au monde. Il a joué l’un des morceaux les plus difficiles jamais écrits, avec un violon d’une valeur de 3,5 millions de dollars.

Deux jours avant sa prestation dans le métro, Joshua Bell joua à guichets fermés dans un théâtre de Boston où un siège coûtait en moyenne 100 $.

C’est une histoire vraie.

Joshua Bell joua effectivement incognito dans la station de métro

Cet événement a été organisé par le Washington Post dans le cadre d’une expérience sur la perception, les goûts et les priorités des gens. L’énoncé était: dans un environnement commun à une heure inappropriée sommes-nous en mesure de percevoir la beauté?

Nous arrêtons-nous pour l’apprécier? Savons-nous reconnaître le talent dans un contexte inattendu?
L’une des conclusions possibles de cette expérience pourrait être:


« Si nous n’avons pas un moment pour nous arrêter et écouter un des meilleurs musiciens au monde jouant la meilleure musique jamais écrite…
.

…COMBIEN D’AUTRES CHOSES MANQUONS-NOUS ???? »

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L’étranger
à lire

l’étranger

Quelques années avant ma naissance, mon père connut un étranger récemment arrivé dans notre village. 
Depuis le début, mon père fut subjugué par ce personnage, si bien que nous en arrivâmes à l’inviter à demeurer chez nous.
L’étranger accepta et depuis lors il fit partie de la famille.
Moi je grandissais, je n’ai jamais demandé d’où il venait, tout me paraissait évident.
Mes parents étaient enseignants : ma maman m’apprit ce qu’était le bien et ce qu’était le mal, et mon père m’apprit l’obéissance.
Mais l’étranger, c’était un conteur, un enjôleur.
Il nous maintenait pendant des heures, fascinés par ses histoires mystérieuses ou rigolotes.
Il avait la réponse à tout ce qui concernait la politique, l’histoire ou les sciences.
Il connaissait tout du passé, du présent, il aurait presque pu parler du futur !
Il fit même assister ma famille à une partie de football pour la première fois.
Il me faisait rire et il me faisait pleurer.
L’étranger n’arrêtait jamais de parler, ça ne dérangeait pas ma Maman.
Parfois elle se levait, sans prévenir, pendant que nous continuions à boire ses paroles, je pense qu’en réalité, elle était partie à la cuisine pour avoir un peu de tranquillité.(Maintenant je me demande si elle n’espérait pas avec impatience qu’il s’en aille.)
Mon père avait ses convictions morales, mais l’étranger ne semblait pas en être concerné.
Les blasphèmes, les mauvaises paroles, par exemple, personne chez nous, ni voisins, ni amis, s’y seraient permis.
Ce n’était pas le cas de l’étranger qui se permettait tout, offusquant mon père et faisant rougir ma maman.
Mon père nous avait totalement interdit l’alcool.
Lui, l’étranger il nous incitait à en boire souvent.
Il nous affirmait que les cigarettes étaient fraîches et inoffensives, et que pipes et cigares faisaient distingué.
Il parlait librement (peut-être trop) du sexe.
Ses commentaires étaient évidents, suggestifs, et souvent dévergondés.
Maintenant je sais que mes relations ont été grandement influencées par cet étranger pendant mon adolescence.
Nous le critiquions, il ne faisait aucun cas de la valeur de mes parents, et malgré cela, il était toujours là !
Cinquante ans sont passés depuis notre départ du foyer paternel.
Et depuis lors beaucoup de choses ont changé: nous n’avons plus cette fascination.
Il n’empêche que, si vous pouviez pénétrer chez mes parents, vous le retrouveriez quand même dans un coin, attendant que quelqu’un vienne écouter ses paroles ou lui consacrer son temps libre….

Voulez-vous connaître son nom?

Nous, nous l’appelons ……. Téléviseur !

Remarque:
Il faudrait que cette belle histoire soit lue partout.
Attention: maintenant il a une épouse qui s’appelle Ordinateur !

…et un fils qui s’appelle Portable !

et un neveu pire que tous ! Lui c’est le SMART PHONE

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 A lire absolumenta lire absolument

Publié le par Aben | 7 commentaires

Qui veut 20 euros ?

20euros

Un homme tend un billet de 20 euros.
Il dit : « Qui aimerait avoir ce billet ? »



Les mains se lèvent.


Il chiffonne ce billet et demande : « Vous le voulez toujours ? »


Les mains se lèvent encore.


Il jette le billet froissé par terre, saute dessus à pieds joints et dit : « Vous le voulez toujours ? »


Et encore, les gens lèvent leurs mains.


Il dit :  » Mes amis,vous venez d’apprendre une leçon !


Peu importe ce que je fais avec ce billet vous le voulez toujours, car sa valeur n’a pas changé. Il vaut toujours 20 euros.


Plusieurs fois dans votre vie, vous serez froissés, rejetés, mis à terre, piétinés par des gens et des événements.


Vous aurez l’impression que vous ne valez plus rien mais votre valeur n’aura pas changé aux yeux des personnes qui vous aiment vraiment !! »


RAPPELEZ-VOUS EN QUAND VOUS SEREZ AU PLUS BAS…

Publié le par Aben | Laisser un commentaire

 

 Carotte, œuf ou café 
à méditer

Une jeune femme rendit visite à sa mère et lui dit que sa vie était tellement difficile qu’elle ne savait pas si elle pouvait continuer.
Elle voulait abandonner car elle était fatiguée de se battre tout le temps.
Sa mère l’entraîna à la cuisine où elle remplit trois casseroles d’eau qu’elle mit à chauffer à feu vif. Lorsque l’eau commença à bouillir, la mère plaça des carottes dans la première casserole, des œufs dans la seconde et des grains de café moulu dans la troisième. Elle les laissa bouillir sur le feu sans dire un mot.
Après 20 minutes, elle retourna à la cuisine, sortit les carottes et les posa sur un plat. Elle sortit les œufs et les plaça dans un bol. Puis elle versa le café dans une carafe. Se tournant vers sa fille, elle dit :
– Dis-moi, que vois-tu ?
– Des carottes, des œufs et du café, répondit sa fille.
La femme l’amena plus près et lui demanda de toucher les carottes. La fille les toucha et nota qu’elles étaient molles et souples. La mère lui demanda alors de prendre un œuf et de le briser. La fille enleva la coquille d’un œuf et observa qu’il était cuit dur. Finalement, la mère lui demanda de goûter au café. La fille sourit quand elle goûta son arôme riche.
La fille demanda alors :
– Quel est ton message maman ?
La mère expliqua :
– Les carottes, les œufs et les grains de café ont affronté la même situation, l’eau bouillante. Alors pourquoi le résultat produit est-il différent ?
Ce qui est important n’est pas la situation,
mais la façon dont elle est interprétée et abordée.
Les carottes sont entrées fortes, dures et solides. Mais, après l’épreuve de l’eau bouillante, elles sont devenues molles et faibles.
L’œuf était fragile avec l’intérieur liquide. Mais, après être passé dans l’eau bouillante, son intérieur est devenu dur.
Quant aux grains de café, ils ont, grâce à l’épreuve, exprimé toute la richesse de leur potentiel et ont réussi à changer l’eau.
Que révéleront les épreuves que tu affrontes ?
Seras-tu carotte, œuf ou café ?

Puisses-tu avoir suffisamment de joie pour te rendre douce, suffisamment de défis pour te rendre forte, suffisamment de peines pour te garder humaine, et suffisamment d’espoir pour te garder heureuse.

Les gens les plus heureux n’ont pas nécessairement le meilleur de tout; ils ne font que ressortir le meilleur de tout ce que la vie met sur leur route. L’avenir le plus clair sera toujours basé sur un passé oublié; tu ne peux pas aller de l’avant dans la vie à moins de laisser aller les blessures et les tracas du passé.

Quand tu es née, tu pleurais et les gens autour de toi souriaient.
Vis ta vie pour qu’à la fin, tu sois celle qui sourit quand tout le monde autour de toi pleure.

Soyons tous des grains de café !!!

Publié le par Aben | 2 commentaires