Archives de catégorie : Y en a marre

Rythmes scolaires

y en a marre_nEt ouai… ce ne sont pas les ‘élus’ qu’il faut changer…
… mais tout le SYSTÈME…

Publié le par Aben | 13 commentaires

L’argent
y en a marre22nPar ‘Minute’ !!!!…. quand même !…
En fait, on a juste des ‘mauvais gestionnaires’…
…ça devrait pouvoir se changer ça, non ?….

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Paixcitation62nEt ouai… le message était pourtant simple, non ?…

Publié le par Aben | 6 commentaires

Peur
y en a marre6950451_nEt ouai…. 

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Baisse des prix

baisse des prix681_nBien sûr avec 100 gr de moins, c’est presque normal…
Mais il faut regarder le prix au kilo !!!
>>>>> 26,88 % d’augmentation>>>>>
Pareil pour le SMIC et il passerait à 1 833 €… cool…
On pourra presque s’en acheter du Bresse Bleu !

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Gros risques  =  Gros profits

profit

Oupssss…

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A l’heure où ils vont élire leur PRÉSIDENT DU SÉNAT
voici un petit rappel d’un article de 2011, histoire de ne pas oublier..


Larcher

Présidence du Sénat : le cabinet de Gérard Larcher a coûté 2 826 610 euros en 2010, soit 26% de plus que celui de son prédécesseur

Un sénat plus modeste ! Telle était la promesse qu’avait faite Gérard Larcher quand il avait pris la succession de Christian Poncelet, empêtré dans une « affaire de logement ».

Trois ans après, cette promesse a-t-elle été respectée ?

D’après l’enquête de Mathilde Mathieu et Michaël Hajdenberg, les rémunérations mensuelles des membres du cabinet de Larcher« atteignent des montants insoupçonnables ». « Au vu des éléments que nous avons recueillis, le cabinet de Gérard Larcher coûte 26% plus cher que le dernier cabinet de son prédécesseur, Christian Poncelet, pourtant réputé particulièrement dispendieux. Les dépenses en personnel du cabinet ont atteint 2.826.610 euros en 2010. Interrogé au Sénat par Mediapart, Gérard Larcher, qui confirme l’augmentation de 26% entre 2007 et 2010, répond qu’il a fait un choix: «Moins de petits fours, plus de neurones». Les anciens du cabinet Poncelet apprécieront. (…)

« Prenons quelques exemples, à partir des fiches de paye de mars 2011 que nous nous sommes procurées:

la rémunération du directeur de cabinet est de 19.154 euros net imposable par mois.

Celle de la conseillère presse de 10.880 euros (contre 6.229 euros sous Poncelet).

Le conseiller aux affaires sociales, entreprises et formation professionnelle: 8.788 euros (contre 5.378 euros sous Poncelet).

Un conseiller spécial: 8.029 euros, auxquels s’ajoute sa pension de fonctionnaire retraité du Sénat de 11.715 euros.

Celui à l’économie, l’agriculture, la ruralité et le développement durable touche 7.971 euros (contre 3.481 euros).

Autres exemples: une plume du président gagne 1.052 euros pour 38 heures de vacation par mois.

La chef-secrétaire du président 5.304 euros ».

A titre de comparaison, un ministre gagnait à l’époque environ 14 000 euros et un député 7 000 euros

Il fait donc bon vivre au Sénat.

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Trou de la Sécu

Vital
Certaines raisons dont on ne parle pas…

Le prix des médicaments est trop élevé

Entre 1990 à 2009, le prix moyen d’un médicament a bondi de 125%, passant de 3,09 euros à 6,95 euros. Or ce prix élevé est souvent injustifié, note la Cour des Comptes.

Certains actes sont surmédicalisés

Le croirez-vous ? Certaines pathologies sont « trop soignées » en France. Ce serait par exemple le cas du cancer du sein, dont le dépistage systématique entraîne des cas de « faux positifs », c’est-à-dire des personnes saines chez qui l’on détecte un cancer. Résultat : un traitement parfois lourd pour le patient et coûteux pour l’Assurance maladie.

Autre exemple : l’accouchement par césarienne, qui concerne en France 20% des naissances, ne cesse d’augmenter. Certaines cliniques pratiquent de plus en plus des « naissances programmées » pour des questions de planning ou de convenance. Une césarienne multiplie pourtant par trois le risque de décès maternel par rapport à un accouchement classique, et bien sûr coûte beaucoup plus cher.

La tarification à l’acte encourage les interventions inutiles

La tarification à l’acte, mise en place en 2004, avait pour objectif des mettre en rapport l’activité réelle des établissements hospitaliers et les remboursements de l’Assurance maladie qui leur sont attribués. Problème, les grilles tarifaires sont très complexes et ne correspondent pas toujours à la réalité des coûts.

D’autre part, la tarification à l’acte encourage les hôpitaux à pratiquer des interventions plus nombreuses, note la Cour des comptes. Certains établissements s’attribueraient même des « missions » plus ou moins effectuées, comme l’accueil de personnes défavorisées.

Les CHU bénéficient d’aides pour des missions invérifiables

Exemption et dégrèvement

Le rapport du Comité d’évaluation des dépenses fiscales et des niches sociales (juin 2011) diffusé par le ministère du budget chiffre quant à lui à plus de 10 milliards d’euros la somme des mesures d’exemption et de dégrèvement de cotisations sociales décidées par l’Etat, et officiellement non compensées, pour l’année 2011. Cette somme non versée, revenant de plein droit aux organismes sociaux, creuse leurs déficits et les pousse d’années en années à plus d’endettement.

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