L’effet Pygmalion

 L’effet Pygmalion
éducation

Dans une école primaire d’un quartier pauvre de San Francisco, on a effectué une série d’examens officiellement pour déterminer le Quotient Intellectuel (QI) des élèves.

En fait, l’objectif de ces tests était tout autre. Il s’agissait d’étudier le rapport entre les progrès scolaires des enfants et le soutien affectif apporté par le couple « enseignant-parents ».

Dans chaque classe, 20%  des élèves ont été désignés comme « possédant un QI supérieur« . En réalité, on les avait sélectionnés au hasard, à fin d’expérience.

Lors d’une réunion avec les enseignants et les parents, les chercheurs ont donné la liste de ces « surdoués » en pronostiquant leurs rapides progrès.

Ô Surprise ! à la fin de l’année, ces élèves déclarés « super intelligents » avaient effectivement accompli en moyenne des performances nettement supérieures à celles des enfants « ordinaires », alors qu’ils avaient été choisis au hasard dans la masse des élèves.

Cela démontre de façon indiscutable qu’un préjugé favorable ou défavorable du maître ou des parents a une incidence directe sur la confiance en soi des élèves et donc sur leurs résultats scolaires.

C’est ce que Rosenthal et Jacobson ont baptisé :  » L’EFFET PYGMALION« 

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3 réponses à L’effet Pygmalion

  1. Henry dit :

    OUAAAAIS ! On reste tout de même assez loin des résultats véritablement positifs…! A mon avis les enfants ne sont pas en cause, ce sont bien la qualité de l’enseignement qui fait que…

  2. Henry dit :

    ENFIN…!

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