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Très intéressante analyse qui me rappelle une citation de ‘je ne sais plus qui’, qui disait : ‘Le cimetière des inconnus est plein de Génies, alors que la plupart des gens célèbres ont raté leurs études et n’ont pas de diplôme… La différence ?….
…Leur état d’esprit et leurs actions !‘
Le paradoxe de notre époque
Le paradoxe à notre époque
est que nous avons + de connaissances
mais – de patience et de tolérance.
Les autoroutes + larges
mais des points de vue + étroits.
On dépense + mais on a –
On achète + mais apprécie –
Nous avons de + grandes maisons mais des + petites familles
+ de commodités mais – de temps
On a + de diplômes mais – de sens
+ d’éducation mais – de jugement
+ d’experts mais + de problèmes
+ de médicaments mais – de bien être
On boit trop , on fume bien trop, on dépense sans réfléchir
puis on ne rit pas assez
On conduit bien trop vite, on se fâche trop, on se couche trop tard et on se lève trop fatigué
On ne lit pas assez, on regarde trop de télé
et puis on ne médite pas assez
Nous avons multiplié nos possessions mais perdu nos valeurs
On parle trop, aime trop rarement, hait trop souvent
On a appris à gagner sa vie mais pas à la vivre
Nous avons ajouté des années à la vie mais pas de vie aux années
Nous sommes allés sur la Lune mais il nous est difficile de traverser la rue pour rencontrer un nouveau voisin
Nous avons conquis le Cosmos extérieur mais pas notre Carrosse intérieur
On fait des choses + grandes mais pas meilleures
Nous avons + d’hygiène mais nous avons pollué même notre âme
Nous avons conquis l’atome mais pas nos préjugés
On écrit + mais on apprend –
Nous planifions + mais accomplissons –
On a appris à se stresser mais pas à patienter
Nous construisons des ordinateurs pour retenir + d’informations
On produit + de copies que jamais auparavant mais nous communiquons de – en –
Nous sommes à l’Ère de la restauration rapide mais de la digestion lente
Des grands hommes mais des petites personnalités
Des profits records mais relations superficielles
Nous sommes à l’Ère de 2 revenus mais avec + de divorces
Nous sommes à l’Ère des ‘Showroom’ bien remplis avec des entrepôts vides
Rappelez-vous de dire ‘Je t’aime‘ à votre partenaire et à vos biens aimés mais surtout pensez-le.
Une bise et une accolade soulageront un mal lorsque c’est sincère. Souvenez-vous de vous tenir la main et de chérir ce moment présent Prenez le temps d‘aimer , de parler et de partager vos pensées précieuses
Et n’oubliez jamais que la vie ne se mesure pas au nombre de souffles que vous prenez mais par les moments qui nous coupent le souffle.
(George Carlin)
Le verre d’eau
Une psychologue marchait vers le podium tout en enseignant la gestion du stress à une audience avertie.
Elle souleva un verre d’eau et tout le monde s’attendait à la question du ‘verre à moitié vide ou à moitié plein’…
Au lieu de cela, et avec un sourire, elle demanda :
– ‘Combien pèse ce verre d’eau ?’
Les réponses entendues varièrent entre 8 et 20 grammes
Elle sourit à nouveau et dit :
– ‘ Le poids absolu n’a pas d’importance. Cela dépend de combien de temps je le tiens…
Si je le tiens pendant une minute, ce n’est pas un problème.
Si je le tiens pendant une heure, j’aurai une douleur dans le bras.
Si je le tiens pendant une journée entière, mon bras se sentira engourdi et paralysé.
Dans chaque cas, le poids du verre ne change pas, mais plus longtemps je le tiens, plus lourd il devient…’
Elle poursuivit en disant :
– ‘ Le stress et les inquiétudes dans la vie sont comme ce verre d’eau.
Pensez-y pendant un moment et rien ne se passe.
Pensez-y pendant plus longtemps et ils commencent à faire mal.
Et si vous y pensez toute la journée, vous vous sentez paralysés, incapable de faire quoi que ce soit.
Alors, pensez à déposer votre verre le plus souvent possible!…’
(auteur inconnu)
Ecris
C’est l’histoire de deux amis qui marchaient dans le désert.
A un moment, ils se disputèrent et l’un deux donna une gifle à l’autre. Ce dernier endolori mais sans rien dire, écrivit dans le sable :
« Aujourd’hui mon meilleur ami m’a donné une gifle »
Il continuèrent à marcher puis trouvèrent un oasis, dans lequel ils décidèrent de se baigner. Mais celui qui avait été giflé manqua de se noyer et son ami le sauva.
Quand il se fut repris, il écrivit sur une pierre :
« Aujourd’hui mon meilleur ami m’a sauvé la vie »
L’autre lui demanda alors :
« Quand je t’ai blessé, tu as écrit sur le sable et maintenant tu écris sur la pierre,
Pourquoi ? »
L’autre ami répondit :
« Quand quelqu’un nous blesse, nous devons l’écrire dans le sable, où les vents du pardon peuvent l’effacer. Mais quand quelqu’un fait quelque chose de bien pour nous, nous devons le graver dans la pierre, où rien ne peut l’effacer.
Apprends à écrire tes blessures dans le sable et à graver tes joies dans la pierre.
Lâcher prise
Le concept du lâcher prise peut s’expliquer et s’appliquer de bien des façons. Une manière très simple de l’apprivoiser consiste à l’opposer à son contraire : le contrôle. Tous, à des degrés divers, nous aimons bien avoir le contrôle, que ce soit sur notre travail ou des parties de celui-ci, sur notre vie personnelle, sur nos émotions, sur les autres peut-être. Nous aimerions bien parfois avoir le contrôle sur des événements qui, justement, sont hors de notre contrôle. Lorsque nous réalisons que nous ne pouvons changer ni les événements ni les autres et que nous pouvons seulement changer notre façon de les percevoir, nous sommes dans le lâcher prise. Nous nous donnons alors une chance de vivre moins de stress. De la même façon, lorsque nous modifions notre action pour arriver à un résultat, nous faisons preuve de flexibilité et de notre habileté à décrocher d’une conduite stérile.
Dans tous les événements qui nous arrivent, il est important de faire la différence entre ce que nous pouvons contrôler, ce que nous pouvons influencer et ce que nous ne pouvons ni contrôler, ni influencer. Faire une distinction entre les trois est sans doute une première étape dans le lâcher prise.
Le lâcher prise et les objectifs
Est-ce à dire que lâcher prise implique de renoncer à nos buts, à nos objectifs ? Pas nécessairement. Lâcher prise, dans l’immédiat, peut être parfaitement compatible avec l’action, mais impliquera parfois une action différente ou différée. Prenons un exemple simple qui permettra de mieux comprendre. Il vous est sans doute déjà arrivé d’avoir un nom sur le bout de la langue et de vous acharner pendant de longues minutes pour le retrouver, mais en vain. On dirait que plus vous faites des efforts, moins vous vous en souvenez. Puis, vous passez à autre chose, vous lâchez prise sur votre recherche. Soudain, le nom recherché arrive de lui-même et sans aucun effort.
Penser de façon obsessive à un problème est la plupart du temps complètement inefficace et ne le règle surtout pas. Au contraire, s’en détacher provisoirement peut permettre à notre cerveau de faire émerger certaines solutions et surtout de laisser la place à l’originalité et la créativité.
Un acte de confiance
Pourquoi trouvons-nous si difficile de laisser aller notre besoin de contrôle? Parce que nous nions ou parce que nous sommes très peu conscient des peurs liées à l’absence de contrôle. Par exemple, on peut craindre des autres qu’ils nous dominent, avoir peur de se tromper, peur de ne pas être adéquat, peur de manquer de quelque chose. Plus on cherche à contrôler, que ce soit les collègues, le conjoint, ses enfants, une manière de faire les choses, l’opinion des autres ou même son apparence, plus cela est signe d’insécurité et moins on lâche prise. Lâcher prise est un acte de confiance. Cela nécessite l’acceptation de nos limites, la reconnaissance des autres dans leurs différences et la capacité de faire avec ce qui est dans le présent . La tentation est grande toutefois de refuser ce qui n’est pas conforme à nos désirs. Le besoin de contrôle nous fait nous acharner sur ce qui aurait pu être ou ce qui devrait être et oublier ce qui est présentement.
Des moyens de lâcher prise
Comment peut-on s’y prendre pour développer la capacité à lâcher prise ? De plusieurs façons. Mais la première et la plus importante n’en demeure pas moins la prise de conscience. Devenir conscient de nos émotions face à ce qui arrive. Devenir également conscient de l’absurdité du contrôle sur ce qu’on ne peut ni changer ni influencer. Devenir conscient de toute la perte d’énergie et de bien-être que représentent le perfectionnisme et l’acharnement.
Et puis, vivre le moment présent. Cela nous fait automatiquement couper court aux pensées parasites, qu’elles concernent le passé, l’avenir, les problèmes, les faux buts et les mauvais moyens. Ici et maintenant libère, permet de décrocher et d’être sensible aux alternatives.
Prenez le temps de lire ceci…
La vitesse à laquelle nous vivons nous fait-elle passer à côté de grandes choses ?
Par un froid matin de janvier, un homme assis à une station de métro de Washington DC a commencé à jouer du violon. Il a joué six morceaux de Bach pendant environ 45 minutes. Pendant ce temps, comme c’était l’heure de pointe, il a été calculé que des milliers de personnes sont passées par la gare, la plupart d’entre elles en route vers leur travail.
Trois minutes se sont écoulées et un homme d’âge moyen a remarqué qu’un musicien jouait. Il a ralenti son rythme, a arrêté pendant quelques secondes, puis se précipita pour respecter son horaire.
Une minute plus tard, le violoniste a reçu son premier dollar : une femme jeta de l’argent dans l’étui de son violon et, sans s’arrêter, a continué son chemin.
Quelques minutes plus tard, quelqu’un s’adossa au mur pour l’écouter, mais l’homme a regardé sa montre et a repris sa marche. Il est clair qu’il était en retard au travail.
Celui qui a apporté le plus d’attention à la prestation musicale fut un petit garçon de 3 ans. Sa mère l’a tiré vers elle, mais le garçon s’est arrêté pour regarder le violoniste.
Enfin, la mère a tiré plus fort et l’enfant a continué à marcher en tournant la tête tout le temps. Cette action a été répétée par plusieurs autres enfants. Tous les parents, sans exception, les forcèrent à aller de l’avant.
Durant les 45 minutes que le musicien a joué, seulement 6 personnes se sont arrêtées et sont restées à l’écouter pendant un certain temps. Environ 20 lui ont donné l’argent, mais ont continué à marcher à leur rythme. Il a recueilli 32 $. Quand il finit de jouer et que le silence se fit, personne ne le remarqua. Personne n’applaudit, ni n’exprima quelque reconnaissance que ce soit.
Personne ne savait cela, mais le violoniste était Joshua Bell, l’un des meilleurs musiciens au monde. Il a joué l’un des morceaux les plus difficiles jamais écrits, avec un violon d’une valeur de 3,5 millions de dollars.
Deux jours avant sa prestation dans le métro, Joshua Bell joua à guichets fermés dans un théâtre de Boston où un siège coûtait en moyenne 100 $.
C’est une histoire vraie.
Joshua Bell joua effectivement incognito dans la station de métro
Cet événement a été organisé par le Washington Post dans le cadre d’une expérience sur la perception, les goûts et les priorités des gens. L’énoncé était: dans un environnement commun à une heure inappropriée sommes-nous en mesure de percevoir la beauté?
Nous arrêtons-nous pour l’apprécier? Savons-nous reconnaître le talent dans un contexte inattendu?
L’une des conclusions possibles de cette expérience pourrait être:
« Si nous n’avons pas un moment pour nous arrêter et écouter un des meilleurs musiciens au monde jouant la meilleure musique jamais écrite…
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…COMBIEN D’AUTRES CHOSES MANQUONS-NOUS ???? »
L’étranger
l’étranger
Quelques années avant ma naissance, mon père connut un étranger récemment arrivé dans notre village.
Depuis le début, mon père fut subjugué par ce personnage, si bien que nous en arrivâmes à l’inviter à demeurer chez nous.
L’étranger accepta et depuis lors il fit partie de la famille.
Moi je grandissais, je n’ai jamais demandé d’où il venait, tout me paraissait évident.
Mes parents étaient enseignants : ma maman m’apprit ce qu’était le bien et ce qu’était le mal, et mon père m’apprit l’obéissance.
Mais l’étranger, c’était un conteur, un enjôleur.
Il nous maintenait pendant des heures, fascinés par ses histoires mystérieuses ou rigolotes.
Il avait la réponse à tout ce qui concernait la politique, l’histoire ou les sciences.
Il connaissait tout du passé, du présent, il aurait presque pu parler du futur !
Il fit même assister ma famille à une partie de football pour la première fois.
Il me faisait rire et il me faisait pleurer.
L’étranger n’arrêtait jamais de parler, ça ne dérangeait pas ma Maman.
Parfois elle se levait, sans prévenir, pendant que nous continuions à boire ses paroles, je pense qu’en réalité, elle était partie à la cuisine pour avoir un peu de tranquillité.(Maintenant je me demande si elle n’espérait pas avec impatience qu’il s’en aille.)
Mon père avait ses convictions morales, mais l’étranger ne semblait pas en être concerné.
Les blasphèmes, les mauvaises paroles, par exemple, personne chez nous, ni voisins, ni amis, s’y seraient permis.
Ce n’était pas le cas de l’étranger qui se permettait tout, offusquant mon père et faisant rougir ma maman.
Mon père nous avait totalement interdit l’alcool.
Lui, l’étranger il nous incitait à en boire souvent.
Il nous affirmait que les cigarettes étaient fraîches et inoffensives, et que pipes et cigares faisaient distingué.
Il parlait librement (peut-être trop) du sexe.
Ses commentaires étaient évidents, suggestifs, et souvent dévergondés.
Maintenant je sais que mes relations ont été grandement influencées par cet étranger pendant mon adolescence.
Nous le critiquions, il ne faisait aucun cas de la valeur de mes parents, et malgré cela, il était toujours là !
Cinquante ans sont passés depuis notre départ du foyer paternel.
Et depuis lors beaucoup de choses ont changé: nous n’avons plus cette fascination.
Il n’empêche que, si vous pouviez pénétrer chez mes parents, vous le retrouveriez quand même dans un coin, attendant que quelqu’un vienne écouter ses paroles ou lui consacrer son temps libre….
Voulez-vous connaître son nom?
Nous, nous l’appelons ……. Téléviseur !
Remarque:
Il faudrait que cette belle histoire soit lue partout.
Attention: maintenant il a une épouse qui s’appelle Ordinateur !
…et un fils qui s’appelle Portable !
et un neveu pire que tous ! Lui c’est le SMART PHONE